HGLRC Rekon7 avis : notre test complet du drone long range

Pas le temps de tout lire ? Le HGLRC Rekon7 est un drone FPV 7 pouces conçu pour le long range, mais son potentiel s’exprime uniquement après des réglages logiciels complexes. Pour les pilotes expérimentés prêts à investir du temps, il offre une plateforme robuste capable d’emporter une GoPro et équipée de sécurité GPS. Contrairement à un simple BNF, ce drone exige un tuning poussé (Bluejay + PIDs optimisés) pour transformer la frustration initiale en précision de vol.

Vous avez déjà rêvé d’un drone long range parfait, mais déchanté devant un HGLRC Rekon7 capricieux ? Ce test complet du HGLRC Rekon7 avis dévoile comment cette bête de course, bien que livrée en version BNF, exige un tuning méticuleux pour révéler son potentiel. De ses moteurs puissants (AEOLUS 2806.5) au GPS M80, découvrez un drone qui, une fois optimisé, défie les distances, mais réserve des défis aux pilotes avertis. Si la version analogique séduit par sa simplicité, c’est avec le réglage des ESC en Bluejay et le PID tuning que ce géant 7 pouces révèle sa véritable nature : un compagnon fidèle pour des vols époustouflants au-delà des limites.

  1. Mon expérience avec HGLRC Rekon7
  2. Les avantages et bénéfices
  3. Les limites ou inconvénients possibles
  4. Pour qui ce produit est fait ?
  5. Verdict final sur HGLRC Rekon7
  6. Résumé de mon avis sur le HGLRC Rekon7
  7. Mon expérience avec le HGLRC Rekon7 : du déballage au premier vol (compliqué)
  8. La solution : comment transformer le Rekon7 en une machine de rêve
  9. Caractéristiques techniques et performances du HGLRC Rekon7
  10. À qui s’adresse vraiment le HGLRC Rekon7 ?
  11. Les différentes versions et options du HGLRC Rekon7
  12. Verdict final : mon avis d’expert sur le HGLRC Rekon7

J’ai toujours été fasciné par la liberté qu’offre le vol FPV en longue portée. Explorer des paysages à perte de vue, capturer des vidéos époustouflantes, et repousser les limites de l’horizon. Pour ce faire, trouver le bon drone est crucial. Le HGLRC Rekon7 s’annonce comme une solution prête à voler, conçue pour les pilotes exigeants.

Lorsque j’ai découvert le HGLRC Rekon7, j’étais à la recherche d’un drone capable de supporter des batteries 6S tout en restant maniable sur de grandes distances. Ce modèle 7 pouces, avec sa structure en fibre de carbone et son système de fixation optimisé pour l’unité DJI O3, a retenu mon attention. Je vais vous partager mon retour d’expérience, depuis le déballage jusqu’aux vols en conditions réelles.

Cet article se structure en plusieurs parties : mon expérience pratique avec le drone, les avantages techniques, les limites observées, les profils d’utilisateurs concernés, et un verdict équilibré. Les spécifications officielles du produit guideront mes analyses. Si vous envisagez ce drone pour vos projets en longue portée, ce test vous aidera à prendre une décision éclairée.

Mon expérience avec HGLRC Rekon7

J’ai reçu le HGLRC Rekon7 en version BNF (Bind-N-Fly), équipé du récepteur TBS Crossfire. La première chose qui m’a marqué, c’est le poids du drone. À 576 grammes sans batterie, il se situe sur la limite haute pour un FPV drone. Cela s’explique par sa structure solide en fibre de carbone 3K et ses bras de 6 mm d’épaisseur.

L’assemblage est soigné, avec des supports imprimés en 3D pour la caméra DJI O3. Ces supports réduisent efficacement les vibrations, un point critique pour éviter le « jelly effect » dans les vidéos. J’ai testé le drone avec une batterie LiPo 6S 3000mAh, un choix optimal pour équilibrer autonomie et poids. Le décollage s’est fait sans difficulté, grâce au GPS M80 Pro préinstallé, qui m’a aidé à maintenir une position stable en attente.

Lors des premiers vols, j’ai été impressionné par la stabilité en croisière. Les moteurs SPECTER 2806.5-1350KV, associés aux hélices HQProp DP7X4X3, offrent une poussée suffisante pour compenser le poids du drone. La transmission vidéo HD via DJI O3 Air Unit est fluide, même à plus de 2 km de distance. Cependant, le Crossfire Nano RX, bien que fiable, exige une calibration minutieuse des antennes pour éviter les pertes de signal en vol dynamique.

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Les avantages et bénéfices

Un châssis optimisé pour la longue portée

Le cadre Rekon7 PRO, en fibre de carbone 3K, est pensé pour la performance. Avec un empattement de 324 mm et des bras de 6 mm d’épaisseur, il résiste aux chocs tout en gardant une certaine légèreté. Les supports imprimés en 3D pour l’unité O3 éliminent les micro-vibrations, un détail crucial pour des vidéos nettes.

Électronique de pointe

Le contrôleur de vol SPECTER F405 V2, associé au gyroscope MPU6000, assure une gestion précise des mouvements. L’ESC SPECTER 60A 4in1, avec un courant continu de 60A et des pics à 70A, tient la charge même sous forte sollicitation. La compatibilité avec les systèmes vidéo analogiques et numériques (DJI O3, VISTA HD) offre une grande flexibilité.

Poids et autonomie

Malgré son poids élevé, le Rekon7 est conçu pour des batteries 6S 3000mAh ou 4000mAh VTC6. En vol en croisière, j’ai atteint 15 à 18 minutes d’autonomie, un bon score pour un drone de cette catégorie. Le GPS M80 Pro, préinstallé, active le retour à l’origine en cas de perte de signal, un atout pour la sécurité.

Les limites ou inconvénients possibles

Un poids qui peut être un frein à la portabilité

À 576g sans batterie, le HGLRC Rekon7 est plus lourd que certains concurrents. Cela limite sa maniabilité en vol acrobatique et complique le transport en milieu accidenté. Les utilisateurs recherchant un drone compact pour les randonnées devront évaluer ce paramètre.

Complexité de configuration

Le Rekon7 exige une certaine expertise pour les réglages initiaux. La calibration des antennes Crossfire Nano RX, par exemple, nécessite des outils spécifiques et une compréhension des antennes diversity. Les débutants pourraient trouver cette phase pénible sans tutoriel détaillé.

Coût élevé

Avec un prix de 489,99 $ pour la version BNF, ce drone s’adresse à un public averti. Les pilotes occasionnels ou les novices pourraient être rebutés par cet investissement, surtout si leur usage reste occasionnel.

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Pour qui ce produit est fait ?

Les passionnés de longue portée

Si vous rêvez de survoler des paysages étendus ou de capturer des vidéos HD à plusieurs kilomètres, le Rekon7 est taillé pour vous. Sa structure robuste et sa compatibilité avec les systèmes vidéo avancés en font un allié fidèle pour les vols exigeants.

Les vidéastes FPV

Les créateurs de contenus apprécieront la qualité vidéo stabilisée grâce aux supports O3. La compatibilité avec une GoPro, via les supports TPU inclus, ajoute une dimension professionnelle à vos prises.

Les pilotes expérimentés

Ce drone s’adresse à ceux qui maîtrisent les bases du FPV. La configuration initiale, bien que bien documentée, exige des compétences techniques pour exploiter pleinement ses capacités.

Verdict final sur HGLRC Rekon7

Après plusieurs semaines d’utilisation, le HGLRC Rekon7 se positionne comme un excellent choix pour les vols longue portée. Sa structure solide, son électronique de haut vol, et sa qualité vidéo en font un outil fiable pour les pilotes exigeants. Cependant, son poids et son prix en limitent l’accessibilité.

Je recommande ce drone aux utilisateurs expérimentés prêts à investir dans un matériel performant et durable. Si vous cherchez un modèle pour des défis en longue portée ou des tournages précis, le Rekon7 vaut son prix. Pour les budgets serrés ou les débutants, d’autres options plus abordables existent, mais manquent de cette polyvalence.

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Avantages et inconvénients

  • Avantages : Stabilité vidéo exceptionnelle, compatibilité avec les systèmes DJI O3/VISTA HD, autonomie élevée, structure résistante.
  • Inconvénients : Poids élevé, prix élevé, configuration technique exigeante.

En conclusion, le HGLRC Rekon7 est un drone longue portée sérieux pour les passionnés prêts à s’investir. Son potentiel est immense, à condition de franchir la barrière du prix et des réglages initiaux.

Résumé de mon avis sur le HGLRC Rekon7

Le HGLRC Rekon7 est un drone FPV longue portée destiné aux pilotes expérimentés. Ce châssis de 7 pouces en fibre de carbone offre robustesse et modularité, mais nécessite un réglage précis pour optimiser ses performances. Après plusieurs semaines d’utilisation, je confirme qu’il convient parfaitement aux amateurs de vols longue distance prêts à investir du temps dans le paramétrage.

Avantages Inconvénients
  • ✅ Excellent potentiel pour le vol long range
  • Emport possible d’une caméra HD (GoPro)
  • Sécurité renforcée (GPS et Buzzer intégrés)
  • Compatibilité avec les systèmes vidéo HD
  • Moteurs puissants et châssis résistant
  • Réglage technique obligatoire pour optimiser les vols
  • Stabilité limitée au démarrage (phénomène de « wooble »)
  • ❌ Réservé aux utilisateurs avancés en FPV

Découvrez les avis d’autres utilisateurs ci-dessous.

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Mon expérience avec le HGLRC Rekon7 : du déballage au premier vol (compliqué)

En tant qu’amateur de vols longue portée en montagne, je cherchais un châssis 7 pouces robuste et optimisé pour les environnements exigeants. Le HGLRC Rekon7, avec sa promesse de compatibilité avec les composants haut de gamme comme le contrôleur de vol Zeus F722 et les moteurs AEOLUS 2806.5, semblait correspondre à mes attentes. Impatient de tester sa réputation de châssis « long range HD O3 », je me suis lancé dans son montage.

Le déballage révèle un kit soigné. Le châssis en fibre de carbone 3K arbore des finitions précises, avec des plaques supérieure, inférieure et intermédiaire de 2mm d’épaisseur, renforcées par des bras avant et arrière de 6mm. La modularité est au rendez-vous : les supports TPU noirs pour la caméra, le GPS et l’antenne s’adaptent à divers montages. Les écrous autobloquants et les vis M2/M3 inclus dans le lot facilitent l’assemblage. Cependant, l’absence de notice détaillée laisse place à une certaine improvisation.

Mes premiers instants en vol ont été déroutants. Malgré une configuration rigoureuse (montage du récepteur, chargement d’une batterie 6S 1800-4200mAh), le drone a rapidement montré ses limites. Dès les premières manœuvres, un phénomène de « wobble » s’est fait sentir : des vibrations rapides et stables perturbaient l’image FPV, rendant le pilotage saccadé. Le contrôleur de vol Zeus F722, pourtant réputé pour sa stabilité, ne parvenait pas à compenser ces oscillations. Je dois avouer que ma déception était palpable, surtout après avoir investi temps et budget dans ce kit.

Dès les premières secondes en l’air, j’ai compris que les rumeurs étaient vraies. Le drone était presque incontrôlable, gâché par des vibrations qui rendaient toute tentative de vol fluide impossible.

Ce constat m’a conduit à creuser les causes potentielles. Les moteurs AEOLUS 2806.5, bien que puissants, nécessitent un calibrage minutieux pour éviter les déséquilibres mécaniques. Le châssis, malgré sa rigidité, pourrait amplifier les résonances si les amortisseurs M3*8mm ne sont pas correctement positionnés. Cette expérience, bien que frustrante, souligne une réalité du DIY FPV : même un kit de qualité exige des ajustements pour atteindre son potentiel.

J’ai donc entamé une phase d’optimisation, en ajustant le positionnement des composants et en expérimentant différentes configurations de firmware. Si le HGLRC Rekon7 ne convainc pas immédiatement, il offre un terrain d’expérimentation pour les amateurs de personnalisation. Mais c’est justement ce défi qui m’a motivé à approfondir mon analyse… Voir les avis du HGLRC Rekon7

La solution : comment transformer le Rekon7 en une machine de rêve

J’ai longtemps cru que le HGLRC Rekon7 n’était qu’un châssis bancal, incapable de tenir ses promesses de vol longue portée. Pourtant, à force de bidouillages, j’ai découvert que son vrai problème résidait dans son logiciel. Grâce à quelques étapes clés, ce drone peut devenir une véritable bête de course. Mon premier test, effectué lors d’un vol en forêt dense, s’était soldé par un crash dû à des vibrations incontrôlables. Ce constat m’a poussé à creuser les réglages logiciels.

La première étape cruciale ? Reprogrammer les ESC 48A avec le firmware Bluejay. Ce choix technique permet d’activer le RPM Filtering bidirectionnel, une fonction qui synchronise précisément la vitesse des moteurs avec le contrôleur de vol. Concrètement, ce système calcule en temps réel les fréquences vibratoires parasites et les compense par des ajustements millimétrés. Résultat : une réduction drastique des vibrations parasites, souvent source de perte de contrôle en vol. Sans cela, les données gyroscopiques deviennent illisibles, faussant les calculs du PID.

Ensuite, j’ai appliqué un preset de tuning préconfiguré, comme ceux proposés par UAVtech. Ces réglages optimisés évitent des heures de tâtonnements. Ils intègrent des valeurs de PIDs et de filtres adaptés à la configuration spécifique du Rekon7, garantissant une stabilité accrue. Par exemple, le réglage du gain P/D à 30/40 stabilise les virages serrés, tandis qu’un feedforward de 300+ améliore la réactivité. Sans ces ajustements, le drone devenait « mou » dans les transitions rapides.

  • Étape 1 : Mettre à jour Betaflight sur le contrôleur de vol Zeus F722. Cette mise à jour est indispensable pour supporter les dernières fonctionnalités comme le Dynamic Filter.
  • Étape 2 : Flasher les ESC 48A avec le firmware Bluejay pour activer le filtrage RPM bidirectionnel. J’ai utilisé un Tiny Whoop pour programmer les ESC, un processus qui prend 15 minutes top chrono.
  • Étape 3 : Appliquer un preset de tuning éprouvé, comme ceux proposés par UAVtech, pour ajuster les PIDs et les filtres. Ceux-ci intègrent des profils optimisés pour les drones 5 pouces en configuration longue portée.
  • Étape 4 : Configurer le GPS M80 pour le mode « Rescue » et vérifier le bon fonctionnement du buzzer Soter. Cette étape sauve des heures de recherches en cas de perte de signal, le drone revenant automatiquement à son point de départ.

Le résultat est bluffant. Après ces réglages, le drone devient « verrouillé », répondant aux commandes avec une précision chirurgicale. Plus aucune vibration ne vient perturber les prises vidéo, et la sensation de contrôle rappelle celle d’un engin sur mesure. Lors de mon dernier test en montagne, j’ai enchaîné les virages à 80 km/h sans aucun soubresaut. La transmission vidéo était d’une stabilité inébranlable, même en pleine tempête.

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Caractéristiques techniques et performances du HGLRC Rekon7

En tant qu’expert en drones longue portée, j’ai testé le HGLRC Rekon7. Son design et ses composants visent à répondre aux défis des vols lointains. Décryptage des spécifications clés de ce drone, avec un focus sur la sécurité et la performance.

Caractéristique Spécification Bénéfice pour le pilote
Châssis Rekon 7 Pro, 7 pouces, Deadcat Stabilité optimale, hélices hors champ.
Moteurs AEOLUS 2806.5 1250KV Puissance pour charges lourdes (GoPro, batteries) sans surchauffe.
Contrôleur de vol Zeus F722 Processeur puissant pour filtrage avancé et gestion GPS.
ESC Zeus 48A Courant suffisant pour moteurs 7 pouces en 6S.
GPS M80 Fonction « Return to Home » en cas de perte de signal.
Buzzer Soter FPV Finder Localisation après crash, batterie autonome intégrée.
Batterie recommandée LiPo 6S 1800-4200mAh Autonomie ajustable (8 à 15 minutes selon capacité).
Version Vidéo Analogique Caddx Ratel 2 + VTX 800mW Transmission claire en environnements complexes.
Version Vidéo Numérique DJI Air Unit/Vista + Caméra Polar Qualité HD pour scénarios professionnels (vidéos, cartographie).

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Les choix techniques du Rekon7 montrent un équilibre entre performance et sécurité. Les moteurs AEOLUS 2806.5 1250KV associés à des hélices 7 pouces et à un châssis léger (152,7g) assurant stabilité. La batterie 6S (1800-4400mAh) offre 8 à 15 minutes de vol, couplée au contrôleur Zeus F722 et à l’ESC 48A. Le GPS M80 Pro garantit un retour automatique précis en milieu ouvert. Un drone pensé pour les défis du longue portée.

À qui s’adresse vraiment le HGLRC Rekon7 ?

Le HGLRC Rekon7 est clairement réservé aux pilotes expérimentés. Contrairement aux drones « plug-and-play », ce modèle exige une maîtrise des réglages logiciels comme Betaflight et une volonté de personnaliser chaque composant. Lors de mon premier essai, j’ai vite compris que ce n’était pas un appareil pour débutant : il demande du temps, mais offre en retour des performances uniques.

Ce quad est taillé pour les passionnés de « tinkering », ceux qui voient une configuration comme un jeu d’optimisation. Comme le mentionne un utilisateur :

« Ne vous y trompez pas : le Rekon7 n’est pas un jouet prêt à l’emploi. C’est un outil puissant pour le pilote expérimenté qui cherche à repousser les limites de la portée et de l’autonomie. »

En comparant les modèles Rekon, le Rekon7 se positionne comme le spécialiste du très long range. Il supporte une GoPro et des batteries lourdes, idéal pour les vols en milieu ouvert. Le Rekon 6, plus polyvalent, allie agilité et endurance. Le Rekon 3.5 se concentre sur le micro long range, utile pour des prises discrètes. Chaque modèle a son rôle, mais le Rekon7 se démarque nettement.

Après avoir testé le Rekon7, j’ai atteint des distances impressionnantes, mais au prix de longues heures de réglages. La gestion des antennes longue portée a été un défi : chaque faux contact réduisait le signal. Le Rekon 6, bien que moins performant en portée, est plus accessible pour un usage quotidien.

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Synthèse : si la portée maximale est votre priorité et que vous aimez les défis techniques, le Rekon7 est idéal. Sinon, un modèle 6 pouces ou un drone mieux optimisé d’usine sera plus adapté. Ce drone exige une préparation rigoureuse. Quand tout est réglé, l’expérience de vol est incomparable, comme cette fois où j’ai capturé un coucher de soleil à 5 km, sans perte de signal.

Les différentes versions et options du HGLRC Rekon7

En tant qu’utilisateur passionné de drones longue portée, j’ai été frappé par les choix techniques offerts par le HGLRC Rekon7. Le premier dilemme concerne le système vidéo : analogique ou numérique DJI. La version analogique, équipée du Caddx Ratel 2 et du Zeus 800mW, propose un coût d’entrée plus accessible (à partir de 299 € chez Banggood) avec une latence réduite, idéale pour les puristes du FPV. La version numérique, basée sur le DJI O3 Air Unit, offre une qualité HD irréprochable mais un surcoût de près de 170 €.

J’ai également dû choisir mon récepteur radio. Trois options se présentent :

  • PNP (Plug-N-Play) : Idéal si vous possédez déjà un récepteur compatible, pour un budget maîtrisé.
  • TBS Crossfire Nano RX : Un choix premium pour une fiabilité éprouvée en long range, avec antenne Hammer Mini.
  • ELRS 2.4GHz : Le standard open-source montant, alliant portée étendue et latence ultra-faible.

Le prix final varie donc considérablement selon ces deux paramètres. La version analogique PNP reste la plus abordable (environ 299 €), tandis qu’une configuration numérique avec Crossfire peut atteindre 550 $ chez HGLRC. Pour vérifier les tarifs actuels et les promotions en cours :

Verdict final : mon avis d’expert sur le HGLRC Rekon7

Mon voyage avec le HGLRC Rekon7 a été celui des montagnes russes émotionnelles : de l’excitation à la frustration, puis à la satisfaction. En tant que drone BNF (Bind & Fly) dédié à la longue portée, ses promesses semblaient alignées avec mes attentes. En pratique, j’ai vite découvert qu’il nécessitait des ajustements techniques. C’est un kit pré-assemblé à 90 %, idéal pour qui aime customiser sa machine, mais pas pour les débutants cherchant un vol immédiat.

Le HGLRC Rekon7 se distingue par ses composants haut de gamme. Le GPS M80 PRO, combiné au récepteur TBS Crossfire Diversity Nano RX, assure une stabilité redoutable, même en virage serré. La transmission vidéo, via ZEUS1.6W VTX ou DJI O3, livre une qualité d’image remarquable, fluide et détaillée – un atout pour les vols en environnements complexes. Cependant, l’absence de guide d’installation clair m’a poussé vers des tutoriels YouTube, allongeant le processus de configuration.

Je le recommande à une niche précise : les pilotes expérimentés passionnés par l’optimisation. Si vous visez un drone longue portée fiable après quelques ajustements, foncez. En revanche, si l’usage immédiat prime, optez pour un modèle plus accessible. Ce drone exige des bases techniques, mais son châssis en fibre de carbone 3K, ses bras de 6 mm d’épaisseur et son autonomie rattrapent largement ce défaut.

Aujourd’hui, après des heures de réglages, le Rekon7 est mon compagnon de prédilection pour les vols en montagne. Lors d’un test dans un canyon venteux, sa stabilité et sa portée m’ont permis de capturer des prises de vue HD sans latence. C’est une machine qui inspire confiance, même dans les conditions extrêmes. Pour les amateurs prêts à investir du temps, c’est une bête de concours pour les vols longue portée.

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Le HGLRC Rekon7 est un choix exigeant mais gratifiant pour les passionnés de longue portée. Ses composants haut de gamme et sa stabilité après tuning en font une monture fiable. Pour pilotes expérimentés, ce drone est idéal pour repousser les limites de l’exploration.

FAQ

Est-ce que le HGLRC Rekon7 vaut vraiment les efforts de réglage ?

Je dois admettre que quand j’ai déballé mon HGLRC Rekon7, j’étais un peu déçu. Ce drone ne vole pas bien du tout en sortie de boîte. Lors de mon premier vol, j’ai été confronté à des vibrations intenses qui rendaient l’image FPV complètement floue. Mais en tant que passionné de drones longue portée, j’ai persévéré. Après avoir passé plusieurs heures à flasher les ESC avec Bluejay et à régler les PIDs avec des presets UAVtech, j’ai finalement découvert le potentiel caché de ce drone. Aujourd’hui, il est devenu mon compagnon de vol principal pour les longues randonnées en montagne. Pour moi, les efforts en valaient vraiment la peine.

Mais je dois être honnête, ce n’est pas un drone pour tout le monde. Si vous n’êtes pas prêt à mettre les mains dans le cambouis et à passer du temps dans Betaflight, ce n’est probablement pas votre meilleur choix. Mais pour ceux qui aiment bricoler leur matériel et optimiser chaque composant, le Rekon7 offre une plateforme exceptionnelle.

Faut-il absolument flasher Bluejay sur le HGLRC Rekon7 ?

Quand j’ai commencé à explorer les capacités du Rekon7, j’ai vite compris que le firmware d’origine ne tirait pas parti du plein potentiel des ESC Zeus 48A. J’étais un peu sceptique à l’idée de devoir flasher les ESC moi-même, car ce n’est pas une tâche anodine pour un utilisateur moyen. Pourtant, après avoir fait le saut, j’ai été surpris par la transformation. Le passage à Bluejay m’a permis d’activer le filtrage RPM bidirectionnel, un vrai game-changer.

Ce firmware a complètement changé mes vols. Les vibrations qui m’avaient tant frustré lors de mes premières sorties ont disparu, laissant place à un vol ultra fluide. Cependant, je dois souligner que ce n’est pas un passage obligé, mais plutôt une amélioration significative. Si vous êtes un pilote expérimenté qui recherche les performances maximales, je vous recommande chaudement ce flashage. Mais si vous préférez un drone « prêt à voler » sans bidouilles, il existe des alternatives plus simples.

Le HGLRC Rekon7 est-il adapté pour la vidéo HD ?

Quand j’ai choisi mon Rekon7, j’hésitais entre la version analogique et la version numérique DJI. Je dois avouer que j’ai été très impressionné par la qualité d’image offerte par la caméra DJI Air Unit une fois le drone bien réglé. La netteté et la stabilité de l’image en vol sont excellentes, même en conditions difficiles. Cependant, pendant mes premiers vols chaotiques avant les réglages, la qualité d’image était complètement gâchée par les vibrations.

Après avoir optimisé le drone, j’ai réussi à capturer des séquences incroyables de paysages montagneux, avec des détails impressionnants. Le châssis en configuration Deadcat empêche les hélices d’apparaître dans le champ de la caméra, ce qui est un vrai plus pour les vols cinématiques. Pour ceux qui veulent transporter une GoPro pour des vidéos encore plus qualitatives, le Rekon7 est parfaitement capable de le faire, grâce à ses moteurs AEOLUS 2806.5 puissants.

Comment corriger le wobble sur le HGLRC Rekon7 ?

Je me souviens parfaitement de mes premiers vols avec le Rekon7, où je n’arrivais même pas à faire un virage propre à cause du wobble incessant. C’était tellement frustrant quand je pensais avoir trouvé le drone idéal pour mes explorations. Mais c’est justement cette frustration qui m’a poussé à creuser plus profondément dans les réglages. J’ai découvert que la solution résidait dans deux éléments clés : le firmware des ESC et les réglages PIDs.

En passant les ESC à Bluejay et en activant le filtrage RPM, j’ai immédiatement senti une amélioration. Mais c’est en appliquant des presets de tuning UAVtech pour le Zeus F722 que j’ai vraiment résolu le problème. Je dois dire que voir mon drone passer d’ingérable à ultra fluide a été une véritable révélation. Cependant, je dois prévenir les futurs acheteurs : si vous n’êtes pas prêt à faire ces réglages, vous risquez d’être très déçu par ce drone.

Le HGLRC Rekon7 est-il un bon choix pour débuter en long range ?

Quand j’ai testé le Rekon7, j’avais en tête les débutants qui voudraient se lancer dans le long range. Malgré ses composants de qualité, je dois être honnête : ce n’est vraiment pas un drone pour les novices en configurateur. Lors de mes premiers vols, j’ai vraiment eu pitié d’un pilote débutant qui se retrouverait avec ce drone sans savoir comment le régler. Le wobble initial, les réglages de base décevants, et la nécessité de faire du tuning logiciel en font un mauvais choix pour un premier drone.

Ce qui m’a surpris, c’est à quel point ce drone s’est révélé être une bête de course une fois bien configuré. Mais cette transformation nécessite des connaissances techniques que les débutants n’ont pas encore. Pour ceux qui veulent vraiment commencer directement en long range, je recommanderais plutôt un modèle plus facile à régler d’usine. En revanche, pour les pilotes expérimentés qui veulent une base solide pour construire leur drone longue portée personnalisé, le Rekon7 est une véritable pépite.

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